Ils sont si primordiaux, les mots. Ils peuvent être petits ou gros. On a parfois le juste ou le bon, Parfois, ils manquent de fond. On se dit qu'on passe pour un con, Et puis quelqu'un vous répond. Un nouveau vocabulaire s'apprend, et surtout se comprend. Avec des mots, on croise le fer, On alimente et amorce la guerre. On crée un monde en quelques phrases, Que quelques silences parfois écrasent. Quelques ponctuations tissent des liens, si forts que l'on invoque le destin. De la prose ou quelques rimes, Sautent les murs, passent les abîmes. Tant d'années passée mais maintenant, je sens que je conjugue différemment. Tu es mon complément, mon objet, Conjointement, la base et la finalité. Chaque page d'un dictionnaire unique, Donne une leçon au millénaire lexique, Des mots communs et empruntés. Depuis que tu me comprends, je sais parler.
La nuance est toujours angélique, quand le regard est "En Vous Tant."
Je ne demande pas mieux, selon l’expression du favori de vos poètes, que de me laisser conduire « par un ange aux yeux bleus ».
Hermine Lecomte du Nouÿ - Amitié amoureuse
Conte de fous ! ♡
“Fall in love with the person who enjoys your madness, not an idiot who forces you to be normal.”
— Unknown
J’allais rebloguer et je cherchais quelque chose à ajouter. C’est alors qu’une patte féline est passée par là et a nonchalamment pressé la touche “+”, l’idée m’a inspiré. Le véritable amour pousse par essence à aller plus loin que par et pour soi. C’est viser l’horizon, le bout du monde, pour au moins franchir quelques frontières, quelques rivages, à la rencontre de l’Autre. Le véritable amour, c’est aller jusqu’au delà de soi, pour ce “Nous”, et l’embrasser pleinement.
Nicholas Sparks (via quotationsworld)
Retrouver le goût de l’Amour, une brick à la foi(s).
-𝐾𝑎𝑡ℎ𝑒𝑟𝑖𝑛𝑒 𝑃𝑎𝑛𝑐𝑜𝑙-
Cela, tu m'as aidé à le comprendre pleinement : La beauté du véritable Amour, ça n'est pas d'avoir toujours parfaitement juste l'un sur l'Autre. C'est d'être bienveillant même face à ce que l'on ne comprend pas encore. C'est ce réflexe d'ouvrir les bras là où d'autres reculeraient ou fermeraient les yeux. C'est ne pas se demander : "Puis-je t'accepter si je ne te connais pas entièrement ?" Mais plutôt : "Puis-je décemment avoir peur de ton inconnu alors que je chéris ton contour ?" Merci de m'ouvrir ta porte quand parfois je te suis étranger. Merci de venir frapper à la mienne quand tu ne te reconnais pas Toi-même. Je t'aime.
- Nos confessions nocturnes.
"Tu n'as pas à être ici. Il suffit de faire demi-tour, c'est si trivial... Tourne simplement le volant et le futur change.
- Ça n'est pas aussi simple.
- Ça l'est.
- Certains événements dans nos vies sont inévitables. Il y a des choses que tu ne comprendras jamais sur mon monde, comme il y en a que tu ne comprendras jamais sur le mien.
- Mais je comprends ce que je ressens pour toi... et d'une quelconque manière, je sais que tu ressens la même chose."
Quelques mots au milieu d’une fiction, Révèlent ce qui échappe à la narration.
Si on les voit, sait-on les lire Et un jour les faire sortir du livre ?
Happiness sneaks in through a door you didn’t know you left open.
John Barrymore (via thoughtkick)
“Le bonheur se glisse à travers une porte que tu ne savais pas avoir laissée ouverte.”
Mon bonheur : Souvent j'en rêve, parfois je l'écris. Mon malheur : Jamais n'en crève, plutôt j'en ris.
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